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LE BISTROT DU MONDE - Version générale

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19 janvier 2005

Désolé pour ne pas tenir mon blog ...... mais

Désolé pour ne pas tenir mon blog ...... mais exame oblige , mais attention des nouveautés à venir debut février
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13 janvier 2005

Quand Le Pen Réincarne Hitler

L'actualité / les dépêches

 

  

Propos de Le Pen: le parquet de Paris va ouvrir une enquête

PARIS (AFP)

Le parquet de Paris a annoncé jeudi qu'il allait ouvrir une enquête préliminaire concernant les déclarations du président du Front national (FN) Jean-Marie Le Pen jugeant l'occupation allemande "pas particulièrement inhumaine".

Cette enquête, réclamée par le ministre de la Justice Dominique Perben, sera confiée à la "brigade de répression de la délinquance contre la personne" de la préfecture de police de Paris, a-t-on précisé de source judiciaire.

Avant d'ouvrir cette enquête préliminaire, le parquet doit déterminer le fondement juridique d'éventuelles poursuites contre le leader du FN. Il devra notamment étudier si ses déclarations peuvent ou non relever de la "contestation de crime contre l'Humanité" ou de "l'apologie de crimes de guerre".

Dans un entretien au journal d'extrême droite "Rivarol", M. Le Pen a déclaré que "l'occupation allemande (en France) n'a pas été particulièrement inhumaine" et qu'"il y aurait beaucoup à dire" sur le massacre d'Oradour-sur-Glane.

Mercredi, le ministre de la Justice avait convoqué la presse pour annoncer avoir demandé au parquet de Paris d'ouvrir une enquête sur les propos du leader d'extrême droite.

Jeudi sur RTL, M. Le Pen a refusé de préciser sa pensée sur le crime d'Oradour-sur-Glane. En revanche, il a réitéré sa déclaration sur l'occupation allemande. "C'est vrai (...) Proportionnellement, c'est en France que l'occupation allemande a été la moins douloureuse", a-t-il dit.

M. Le Pen a annoncé que "dès aujourd'hui" (jeudi), il allait porter plainte "pour diffamation" et "pour avoir manipulé ses propos" contre Le Monde, le premier quotidien à avoir publié des extraits de cet entretien.

Les déclarations de Jean-Marie Le Pen sur l'occupation allemande ont déclenché mercredi une nouvelle polémique qui a provoqué l'indignation d'associations et de responsables politiques.

Selon Le Monde daté de jeudi, le président du FN "fait ainsi écho, sans s'y référer explicitement, à une thèse révisionniste" selon laquelle "des explosifs auraient été dissimulés par les résistants dans l'église (d'Oradour) où le 10 juin 1944 la division SS Das Reich avait enfermé 642 civils (dont 245 femmes et 207 enfants) avant de mettre le feu au bâtiment".

Dans un communiqué, le ministre de la Justice a indiqué par ailleurs mercredi avoir découvert "que dans la même interview M. Le Pen tenait des propos extrêmement graves concernant les magistrats et la Justice" et demandé que l'enquête porte également sur des propos qui "mettent en cause" leur "équité".

"Lorsque des magistrats, au mépris de ce qui est leur obligation morale et fonctionnelle, bafouent le principe d'équité et accordent le bénéfice de la bonne foi à des gens qui à l'évidence ne le sont pas (...) c'est proprement révoltant", déclare M. Le Pen dans Rivarol.

M. Le Pen vise son procès perdu en octobre 2004 contre Le Monde, qui avait publié pendant la campagne de 2002 des témoignages l'accusant de tortures pendant la guerre d'Algérie.

En novembre, le garde des Sceaux était déjà intervenu pour demander au procureur général près la cour d'appel de Lyon que des poursuites pour "contestation de crimes contre l'Humanité" soient engagées contre Bruno Gollnisch, délégué général du FN, après ses propos sur les chambres à gaz.

©AFP 2005 . Tous droits réservés. Les utilisateurs peuvent télécharger et imprimer les extraits du contenu de ce site web pour leur usage personnel et à des fins non commerciales uniquement. Sous cette réserve, les utilisateurs ne sont pas autorisés à reproduire, publier, vendre, distribuer ou exploiter commercialement le contenu de ce site web sans l'accord préalable écrit de l'AFP. AFP et son logo sont des marques déposées.

13 janvier 2005

Quand harry rencontre Sally .... Non le Naziasme

L'actualité / les dépêches

 

 Quand Harry rencontre Sally ….. Non le Nazisme 

LONDRES (AFP)

Le turbulent prince Harry a été prié jeudi de s'excuser publiquement après le tollé provoqué par la publication d'une photo le montrant déguisé en nazi, qui a plongé la famille royale dans un extrême embarras.

La photo, publiée dans de très nombreux journaux du monde entier, montre le prince déguisé en officier nazi de l'Afrikakorps, brassard frappé d'une croix gammée au bras gauche. Elle avait été prise samedi, au cours d'une soirée costumée sur le thème douteux "colonialistes et indigènes" et sa publication ne pouvait tomber à un plus mauvais moment, à quelques jours de l'anniversaire de la libération du camp d'extermination d'Auschwitz.

"C'est un acte honteux", a réagi le centre Simon Wiesenthal, en conseillant vivement au prince Harry, 20 ans, "d'accompagner la délégation britannique qui se rendra le 27 janvier au camp de la mort d'Auschwitz pour marquer le 60e anniversaire de la libération du camp".

Troisième dans l'ordre d'accession au trône après son père, le prince Charles, et son frère William, Harry a manqué de jugement, a estimé un ancien porte-parole de la famille royale, Dicky Arbiter, qui a réclamé que le prince présente ses excuses en personne, via la radio et la télévision.

"Il a reçu une très bonne éducation et devrait être intelligent. On se demande ce qui lui en est resté", a dit M. Arbiter, jugeant que le prince avait besoin "d'une bonne reprise en main dans l'armée."

"Je pense qu'il serait approprié qu'il nous dise lui même à quel point il est désolé", a également déclaré le chef de l'opposition conservatrice britannique Michael Howard.

Pour l'instant, le prince a simplement présenté des excuses via un communiqué de Clarence House --les services du prince Charles et de ses fils-- dans lequel il a concédé avoir fait "un mauvais choix de costume".

L'entrée du prince en mai dans la prestigieuse académie militaire de Sandhurst, qui forme l'élite de l'armée britannique, ne sera cependant pas remise en cause, a tenu à préciser dans l'après-midi le ministère de la Défense.

Jeudi matin, Doug Henderson, député travailliste et ancien secrétaire d'Etat aux Forces armées, avait estimé qu'après cet incident le prince Harry n'était plus qualifié pour y entrer.

"Il est clair qu'une erreur a été commise, Harry l'a reconnu", a indiqué un porte-parole du Premier ministre Tony Blair, estimant préférable de laisser le palais gérer l'affaire.

Comme à chaque écart de conduite de Harry, critiqué dans le passé pour sa consommation de drogue ou ses abus de boisson, les mêmes questions reviennent dans la presse, mettant en cause une éducation trop laxiste, l'absence de son père et la négligence de ses conseillers.

Cette incartade, qui porte un nouveau coup à la réputation des Windsor, est une occasion pour les journaux de rappeler les liens embarrassants de certains membres de cette famille, d'origine allemande, avec le régime nazi.

Le roi Edouard VIII, monté brièvement sur le trône en 1936 avant d'abdiquer pour épouser Wallis Simpson, était un admirateur du régime nazi dans les années 30 et avait serré la main d'Hitler en 1937.

Les révélations que le père de la princesse Michael de Kent, cousin de la reine, appartenait au parti nazi, avaient déjà embarrassé la monarchie.

Les parents d'Elizabeth II ont pourtant incarné pendant la guerre la résistance farouche de leur pays au nazisme en refusant de quitter Londres et en visitant les quartiers bombardés par les avions allemands.

Particulièrement mal toléré dans un pays qui est fier d'avoir tenu tête, seul en Europe, à l'Allemagne pendant la guerre, ce nouvel écart de conduite de Harry semble en tout cas avoir ruiné pour longtemps les efforts laborieux des conseillers pour améliorer son image.

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13 janvier 2005

La femme du jour

La femme du jour :

 

12 janvier 2005

Vers la paix

L'actualité / les dépêches

                                                                                                    

 

 

 

Israël renoue le dialogue avec l'Autorité palestinienne (12/01/2005)

JERUSALEM (AFP)

Le Premier ministre israélien Ariel Sharon a appelé mardi Mahmoud Abbas pour le féliciter après son élection à la tête de l'Autorité palestinienne et tous deux "sont convenus de se reparler prochainement", a indiqué le bureau de M. Sharon.

Dans son appel téléphonique, M. Sharon a souhaité à M. Abbas "de réussir dans ses fonctions", a indiqué un responsable au bureau de M. Abbas à Ramallah, selon qui l'entretien a duré près de deux minutes. Aucune date n'a été avancée pour une rencontre entre les deux hommes.

A peine proclamé vainqueur de l'élection palestinienne, M. Abbas a "tendu la main" à Israël lundi pour faire la paix alors que M. Sharon s'est dit prêt à rencontrer le successeur élu de Yasser Arafat, qui était sa bête noire. Au lendemain de son investiture au Parlement, le nouveau cabinet d'union nationale de M. Sharon a tenu à Jérusalem sa première séance, notamment consacrée aux démarches en vue d'un sommet Sharon-Abbas.

"La rencontre devrait se tenir dans un futur proche", a indiqué M. Avi Pazner, porte-parole du gouvernement israélien. "Nous voulons savoir ce que M. Abbas compte faire concrètement pour stopper la violence et le terrorisme. Ce matin, une roquette Qassam a encore été tirée sans faire de victime sur la ville de Sdérot: cela doit cesser immédiatement, c'est un préalable à toute discussion sur d'autres sujets", a ajouté M. Pazner.

"La rencontre pourra se tenir dans les deux prochaines semaines, mais aucune date n'a encore été fixée", a déclaré pour sa part le chef de la diplomatie palestinienne Nabil Chaath, à l'issue d'une réunion mardi à Ramallah. M. Abbas avait affirmé lundi être "engagé dans le processus de paix basé sur la Feuille de route", un plan de paix international prévoyant la fin de la violence, le gel de la colonisation juive et la création d'un Etat palestinien.

Lundi, le président américain George W. Bush s'est dit prêt à recevoir Mahmoud Abbas à Washington. "J'offre mes félicitations à Abou Mazen (Mahmoud Abbas). Je serais heureux de l'accueillir ici à Washington s'il décide de venir", a déclaré M. Bush. Selon la présidence du conseil à Jérusalem, la rencontre Abbas-Sharon pourrait permettre de coordonner l'application à partir du mois de juin du plan de retrait israélien de la bande de Gaza et de quatre colonies en Cisjordanie. Un projet, révélé par le quotidien Maariv prévoit qu'Israël propose aux Palestiniens d'assumer le contrôle sécuritaire de leurs villes en Cisjordanie et dans le nord de la bande de Gaza, à charge pour eux d'empêcher les attaques contre Israël à partir de ces secteurs. L'armée israélienne a réoccupé les principales villes de Cisjordanie en mars 2002 à la suite d'une vague d'attentats suicide palestiniens en Israël. Les responsables israéliens ont évoqué d'autres éventuels gestes, notamment l'élargissement de détenus palestiniens et la levée de barrages routiers dans les territoires occupés.

Mais, M. Sharon n'est pas au bout de ses peines sur le plan intérieur. Son cabinet --formé par son parti, le Likoud, les travaillistes et le Judaïsme Unifié de la Torah-- n'a obtenu l'investiture du parlement qu'à l'arraché avec une majorité de 58 députés contre 56, et six abstentions. Pas moins de 13 députés "rebelles" du Likoud opposés au plan de désengagement ont voté contre l'investiture et menacent de le mettre en difficulté mercredi lors du vote de la loi de Finances pour l'exercice 2005. Selon la radio publique israélienne, M. Sharon s'est dit prêt à des élections anticipées si son projet de budget est repoussé en première lecture. La législature doit normalement s'achever fin novembre 2006.

Côté palestinien, le président Mahmoud Abbas tentait, au surlendemain de sa victoire électorale, d'aplanir des divisions entre ses collaborateurs qui ont marqué l'ère de son défunt prédécesseur Yasser Arafat. Il a pour ce faire décidé de mettre un terme aux rivalités opposant deux des hommes forts des territoires de Cisjordanie et Gaza en les amenant à se rencontrer. Jibril Rajoub, conseiller d'Arafat au Conseil national de sécurité, et son rival Mohammed Dahlane, ex-ministre délégué à la Sécurité à l'époque où M. Abbas exerçait les fonctions de Premier ministre en 2003, se sont pour la première fois depuis plusieurs années rencontrés mardi dans les bureaux de la présidence de l'Autorité palestinienne à Ramallah. Mais le général Rajoub n'a pas tardé à annoncer peu après sa démission, expliquant sa décision par les "nouvelles réalités après le martyre de notre président et symbole de notre lutte", dans une allusion à Arafat.

Ces dernières années, la bataille pour le contrôle des services de sécurité avait empoisonné la vie politique palestinienne, et poussé M. Abbas à protester contre Arafat en démissionnant de son poste de chef du gouvernement en septembre 2003. Cette lutte âpre pour le contrôle des services de sécurité s'est traduite par une rivalité féroce entre MM. Dahlane, ancien chef de la Sécurité préventive dans la bande de Gaza où il reste très influent, et Jibril Rajoub, ancien chef de ce même service en Cisjordanie.

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12 janvier 2005

La Femme de rêve du jour : Marisa

12 janvier 2005

Vous en avez rêvé .... je vous l'offre

Désormais chaque jours dés minuit, je vous propose une femme de rêve grâce à sport illustred sur votre site favori

www.davidgr.canalblog.com

11 janvier 2005

Le Dakar en deuil ...... Salut fabrizio

 

Que feront les motards demain pour rendre hommage à Méoni, à l'heure actuel on parle de plusieurs abandon en signe d'hommage, mais rien n'est encore décidé. Si vous souhaitez en savoir plus je vous conseil de voir France 2, et d'observer l'émotion de toute l'équipe, Gérard Holtz a présenté son émission de 16 heures en larme. Vous trouverez ci-joint le communiqué officiel:

En pensant à Meoni

 
 
Le Dakar 2005 vit une nouvelle journée de deuil avec le décès de Fabrizio Meoni, 47 ans, au lendemain de celui du motard espagnol Jose-Manuel Perez.

Le motard italien prenait ce matin le départ de l'étape avec la 2ème position au classement général, à un peu plus de neuf minutes de Cyril Despres. Les leaders s'étaient assez vite rejoints sur la piste, le terrain plutôt roulant facilitant, comme la veille et l'avant-veille, le regroupement des hommes de tête. Ce sont donc cinq motards qui ont passé ensemble le CP 1, la victoire d'étape se profilant alors pour Marc Coma sans changement notable au classement général.

Quelques minutes après ce ravitaillement, précisément à 10h15 au point kilométrique 184, Meoni chutait lourdement. David Frétigné, qui roulait à ce moment à ses côtés, s'est arrêté et a déclenché la balise de détresse en constatant la gravité apparente de l'état de l'Italien, déjà inconscient. L'hélicoptère médical, immédiatement prévenu, est arrivé sur les lieux à 10h36, l'équipe de secours trouvant Meoni dans une situation d'arrêt cardiaque. Après 45 minutes de massage cardiaque, les efforts des médecins se sont révélés vains. Le décès était constaté à 11h11.

Les autres motards, qui n'avaient pas été informés de l'état de leur rival, ont poursuivi la spéciale dans l'insouciance, Marc Coma signant pour l'anecdote le meilleur temps du jour. C'est à ce moment que les leaders ont appris le décès de Meoni, restant tous sans réaction sous le poids de l'annonce du drame. La vingtaine de motards présents a alors pris la route de liaison vers Kiffa, le Directeur sportif Patrick Zaniroli prenant soin de préserver le reste de la caravane de cette triste nouvelle. Les 200 kilomètres restant à parcourir, même sur goudron, pourraient en effet être dangereux pour des motards psychologiquement touchés.

Avec Fabrizio Meoni, qui s'engageait pour la 13ème fois, le Dakar perd une de ses figures historiques. Double vainqueur de l'épreuve en 2001 et 2002, il était surtout aux yeux de tous, eu égard à ses premières expériences en tant que « poireau », un des personnages les plus respectés et admirés du rallye. En quelque sorte, un des meilleurs dépositaires de l'esprit Dakar.

La course auto a été pour sa part menée par les trois véhicules de tête du classement général avec une large avance sur les autres. Alphand, « Peter » et Jutta Kleinschmidt ayant roulé ensemble pendant l'essentiel de la journée, c'est l'Allemande qui signe le meilleur temps du jour. Le tiercé de tête du classement général est inchangé, la marge du tenant du titre étant simplement légèrement réduite.

DÉCÈS – COMMUNIQUÉ DE LA DIRECTION DU RALLYE

DÉCÈS DE FABRIZIO MEONI
C'est avec une immense tristesse que le Dakar a appris ce matin le décès d'un des plus grands pilotes de rallye, Fabrizio Meoni (n° 4), survenu lors d'une chute peu après le CP1 au km 184, à 10h15 gmt pendant la 11ème étape ATAR-KIFFA.

L'hélicoptère médical de l'organisation est arrivé sur les lieux du drame à 10h36 gmt et les médecins ont tenté de réanimer le champion en procédant à un massage cardiaque pendant 45 minutes.

Malgré tout, le double vainqueur du Dakar âgé de 47 ans devait succomber à 11h11 gmt.

Fabrizio Meoni, immense figure du rallye, occupait la 2ème place du classement général moto, derrière Cyril Despres et participait à l'épreuve pour la 13ème fois.

Son corps a été ramené à Atar.

Toute la caravane du Dakar présente à sa famille, à ses amis et à ses nombreux admirateurs, ses très sincères condoléances.
 

11 janvier 2005

Mort d'un grand Monsieur !

Méoni Mort durant la 11 éme étapes entre Attar et Kaffi

Durant la 11 éme etapes du  Barcelona-Dakar 2005  Le grand Motard Italien Fabrizio Méoni est décédé juste avant le PC 1 d'un arrêt cardiaque, aprés 45 minutes de réanimation, le motard a été déclaré décédé par les officiels

10 janvier 2005

effet de la drogue.....

La drogue ne tue pas forcement mais elle peut avoir de grave conséquence sur vous votre santé ...... et votre futur enfant ( voir photo). Premiérement les acides prient s'accumulent dans le cerveau, et ils ne sortent pas tout de suite, ils peuvent sortir un jour sans que vous le sachiez au bout de 5 voir 10 ans aprés la prise de la substance, c'est à direque, imaginez vous grand patron en plein conseil d'administration tout d'un coup vous pétez littéralement les plombs.... et aprés vous prenez la porte car tout le monde va vous considérez comme fou .

Deuxiement votre enfant a des chances d'etre mal formé comme la photo....... donc a vous de réfléchir

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